Après la version Kindle, parue autour du 20 mai 2021, voici l’édition papier, retardée à cause de nombreux « atermoiements » de la part du support technique..
Voici donc le texte de quatrième de couverture et la couverture :
Les crashs d’objets volants non identifiés forment un volet incontournable de la recherche ufologique. Ce thème souvent évoqué est cependant mal connu du grand public, par-delà quelques images d’Epinal. Un formatage de l’opinion publique par des médias complaisants a trop souvent réduit ce « cœur du sujet » à une lénifiante et malhonnête « rumeur de roswell », pour un titre représentatif. En l’occurrence, qui en France connaît en France les noms des rares et authentiques enquêteurs sur l’incident de juillet 1947 au Nouveau-Mexique ? Alors que Roswell a donné lieu à une inflation d’ouvrages en tous genres, les livres de Thomas Carey, Donald Schmitt, Anthony Bragaglia, Michael Hesemann, Stanton Friedman et l’ex Lt-colonel de l’US Air Force Kevin Randle n’ont dans leur grande majorité jamais été traduits et sont donc, dans une large mesure, inconnus dans les pays francophones…
Paul Blake Smith est un enquêteur indépendant. Il a grandi au Missouri et a découvert fortuitement, peu avant 2010, ce cas qui avait fait surface en 1991 avec le témoignage incendiaire de Charlette Mann, petite-fille du pasteur Huffman, qui exerçait son ministère à Cape Girardeau en 1941. Le crash d’ovni d’avril 1941 au sud de cette petite ville du Midwest a été jugé suffisamment crédible pour que le chercheur de référence Leonard Stringfield l’intègre dans son Status Report N°VI, en 1991. Plus tard est apparu le témoignage des sœurs Holt, qui rapportèrent les confidences de leur père, lui-même pasteur. Ce témoignage implique un des plus hauts personnages de l’Etat, sous l’administration du président Franklin Roosevelt.
D’autres chercheurs éminents se sont par la suite prononcés fermement en faveur de l’authenticité du cas. Stanton Friedman a lui-même fait le déplacement pour mener sa propre enquête dans la petite ville et ses environs. Contentons-nous de citer encore les noms de Linda Moulton Howe, Grant Cameron, Ryan S. Wood et Timothy Good.
L’étude de Blake Smith s’appuie également sur les travaux de Ryan Wood, son livre « Majik: Eyes Only » édité en 2007 et sur les controversés Majestic Documents publiés en 1998 par Ryan S. Wood et son père le fameux Robert Wood. Le contexte historique est recoupé avec les témoignages personnels directs ou indirects et l’examen des documents « filtrés », en particulier les mémos de la Maison Blanche émis sous l’administration Roosevelt. Le lecteur est ainsi invité à reconstituer la trame d’un évènement « coup de tonnerre » qui s’est produit sept mois avant l’entrée en guerre de l’Amérique (07 décembre 1941) et qui a été censuré dans le contexte du conflit mondial.
A- travers l’implication des plus hauts dignitaires au pouvoir, tels le général Marshall (chef d’état-major de l’armée pendant la guerre) le Secrétaire d’Etat Cordell Hull (qui apparaît comme un acteur central de la divulgation autour de « MO41 »), le président Roosevelt lui-même et l’homme du secret par excellence, le Dr. Vannevar Bush, l’auteur dessine les contours de ce qui sera le COVER -UP ou censure systématique mise en place autour du phénomène OVNI/ET, longtemps avant 1947.
Ces dossiers de fond permettront de « prendre la mesure » des opérations de déclassification annoncées par le Pentagone et la Navy depuis de longs mois.
Le chercheur français de réputation mondiale Jacques Vallée publie au même moment un livre sur un incident qui serait survenu au Nouveau-Mexique en 1945, soit deux ans avant Roswell et quatre ans après Cape Girardeau. La question décisive d’une authentique divulgation sera donc : où sont les technologies découvertes et répliquées sur les « aérodynes » non-terrestres, ces « merveilles qui sont venues jusqu’à nous » selon les propres mots du président Franklin Delano Roosevelt, mort en avril 1945, quelques mois avant le premier essai atomique.